Inspirée du système de management de Toyota, la logique japonaise du Kaizen prône la réduction voire la suppression de tout superflu qui serait à l’origine de pertes, qu’elles soient réelles ou à caractère plus fictif (en considérant que ce qui ne génère pas de gain est une perte). Trois grands « fléaux » sont la cible des adeptes du « toyotisme » : Muri (l’excès), Mura (l’irrégularité) et Muda (le gaspillage).